MickeyCam a écrit:Bonjour,Changez les cinch en laiton doré résistif au possible par de vrais cinch WBT par exemple sont plus bénéfique que le câble lui même
Qu'avez-vous mesuré et avec quoi comme résistance sur ces deux type de fiches ?
Par ce que "résistif au possible" se mesure, donc combien d'ohms ou de fractions d'ohms ?
J'ai mesuré mes "laiton doré" chinoise, (qui seraient donc pas donc "pas vraies", je trouve 0,000 ohms, mais ma plus basse mesure fait 0,001 ohm, donc la résistance de ma fiche est inférieur à un milli-ohm.
Et inférieur à 1 milli-ohm ne me semble pas "résistif au possible".
Ou alors on n'a pas la même perception des valeurs ohmiques.
Par ailleurs, sur la majorité des amplis, les cinch femelles sont des chinoises en laiton doré (c'est la dorure qui conduit, pas le laiton, c'est vrai fine, mais pour que la dorure parte, il faut débrancher et rebrancher très souvent).
Michel...
Certes, mais attention à ça : (lu dans un ancien n° de La Recherche)
"Influence de l' épaisseur. Couches minces.
Avec un certain nombre de métaux tels que l'or, le nickel,le cobalt, le fer, etc., on observe des anomalies dans le comportement électrique lorsque l'épaisseur du conducteur formé avec ces métaux décroît très fortement: la résistivité augmente et le conducteur peut ne plus obéir à
la loi d'Ohm.
Par exemple, avec le cobalt, la résistivité augmente de plus de 100 fois lorsque l' épaisseur diminue aux alentours de 35 µm ; vers 20 µm, la loi d'Ohm n'est plus respectée.
Dans le cas de l'or, métal que l'on emploie fréquemment en couche mince, la résistivité, qui est de l'ordre de 2,4 x 10-8 Ohm.m sous épaisseur normale (par exemple supérieure au micromètre), augmente lors-que l'épaisseur descend au-dessous de quelques dizaines de nanomètres: elle est multipliée par 3 pour un dépôt de 30 nm environ, et par 109 pour un dépôt de l'ordre de 2 nm. Cette résistivité dépend d'ailleurs beaucoup des conditions de réalisation du dépôt, notamment de son dégazage éventuel, de son ancienneté et du support utilisé."