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Discussions sur le matériel Haute-Fidélité
S.Igor Kirkwood:StudioEaubonne+YamahaNS-1000x (by Ohl) FIN
oui surtout que le DSP 32 bits n'est pas la précision du DAC, mais la précision des calculs de correction post ADC, pour le ADC ils annoncent 114db de Rapport signal bruit, soit 30 db moins bon qu'une quantisation 24bits théorique
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Un changement de laine de verre s'entend bien plus qu'un changement de câble !
Sujet: Mon installation "Steph-Hifi MK3"
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Steph-Hifi - Membre d'Honneur - Consultant du CA & Superv. HiFi
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Pour rappel, 16bit c'est 96dB et 24 c'est 144 c'est ça?
Donc il serait entre les 2.
Perso j'essaierais aussi d'avoir une chaîne numérique jusqu'au bout.
Il existe une carte multi-spdif pour les lecteurs oppo, ça pourrait être une solution.
Donc il serait entre les 2.
Perso j'essaierais aussi d'avoir une chaîne numérique jusqu'au bout.
Il existe une carte multi-spdif pour les lecteurs oppo, ça pourrait être une solution.
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Etude et réalisation de Cinémas Privés, Calibration A/V, conception enceintes et Config Kaz 9 pour PCHC.
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kazuya - Pro-Divers.
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Iorn a écrit:a mon avis ça doit être la même chose....je ne vois pas quelle amélioration de la précision on peut en attendre
Le Open DRC analogique travaille en 32 bits flottant, le Behringer en 24 bits.... la seule différence que je vois pourrais se situer là....est ce audible ?
c'est la question.
De toute manière on évite pas une conversion AN/DA, DA/AN en interne de l'open DRC
Il faut aussi tenir compte de la fréquence de quantification. Très élevée, elle évite les filtres passe bas trop proches des fréquences audibles les plus hautes. On en connait l'inconvénient, les rotations de phase dans la zone fréquentielle perceptible.
Il faut aussi rappeler qu'à une fréquence d'échantillonnage de 44,1 ou 48kHz, on n'a que deux échantillon par cycle à 20kHz, quatre à 10kHz, 8 à 5kHz, c'est peu. Même pour un échantillonnage de 96kHz huit échantillons à 5kHz sont encore juste pour définir un cycle de sinusoïde.
Je commence à faire un peu de prise de son en 24/192k sans compression ni limitation de la dynamique. Il n'est pas inutile de garder cette marge dynamique (24bits) et en bande passante pour assurer définition et phase à haute fréquence.
Je pense qu'il est normal que les circuits électroniques numériques assurent une marge par rapport aux performances recherchées par l'utilisateur. C'est la raison, je pense, des 32bits et de la très haute fréquence de travail choisie pour les DSPs. Qui peut le plus peu le moins.
Remarques personnelles. J'ai fait de longues écoutes d'albums édités en Vinyle (AAA), CD (AD ou DD), BR Audio PCM24/96k (Reprise de masters AD ou DD selon l'age de l'original). Très intéressante dans le domaine de la restitution des harmoniques les plus hautes, l'écoute comparative analogique-digital me laisse penser que plus la fréquence d'échantillonnage est élevée, plus la restitution du haut-médium/aigu devient précise et cohérentes.
Quand au 24/192k, il donne de la marge pour le respect de la dynamique et du naturel des harmoniques les plus hautes. Je viens de réaliser une capture en stéréophonie de phase, purement acoustique, de deux musiciens, un chanteur guitariste et un guitariste basse. Deux micros électrostatiques AKG P420 directement connectés à l'interface Roland Quart, sans aucun intermédiaire. J'ai fait écouter le résultat sur ma chaîne habituelle. Le chanteur m'a dit qu'il connaissait enfin sa vraie voix. Effectivement, l'écoute de contrôle était identique à ce que je venais d'entendre en live, tout passait sans souci dans le haut-médium aigu, sans aucune altération de la dynamique, très loin des CDs commerciaux.
Pour ces raisons, je pense qu'effectivement les choix de quantification des DSPs de l'OpenDRC se justifient par rapport au 24/96k du Behringer, et aussi de l'ElectroVoice.
- JACBRU
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A propos de ces caractéristiques des DAC et de leur impacts, je vous engage très fortement à regarder...et méditer, la dernière vidéo de JIPIHORN, qui montre la réalité qui se cache derrière ces caractéristiques marketing !
A travers des mesures très sophistiquées (et jamais montrées de cette façon) sur 2 convertisseurs (AKM et ESS) il met en évidence la réalité de l'impact des quantifications et fréquence d'échantillonnage sur la linéarité et monoticité des dac pris en ex. et qui sont loin d'être les plus mauvais.
jyval
A travers des mesures très sophistiquées (et jamais montrées de cette façon) sur 2 convertisseurs (AKM et ESS) il met en évidence la réalité de l'impact des quantifications et fréquence d'échantillonnage sur la linéarité et monoticité des dac pris en ex. et qui sont loin d'être les plus mauvais.
jyval
- jyval
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Mon cher Igor. Puisque tu en es au changement, je vais t'esquisser ma logique des choses, elle est très simple : source numérique vers un DSP (quel qu'il soit) avec des entrées numériques et des sorties analogiques, potentiomètre avec autant de canaux que d''amplificateurs. Une seule conversion donc, une N/A et une réduction appréciable du bruit par le fait que le potentiomètre général se trouve en fin de course, juste avant les amplis. C'est le schéma de ma chaîne. Le principal atout de ce système est sa logique et son économie de moyen; son principal défaut, la limitation des sources aux seules données numériques. Chez moi, c'est un ordinateur dédié qui est l'unique pourvoyeur de musique. Cela me contraint évidemment à riper les CD mais me permet en contrepartie de télécharger depuis QOBUZ des fichiers musicaux, dont ceux en haute-définition qui constituent aujourd'hui mon principal enrichissement en oeuvres musicales.
Les BEHRINGER que j'utilise sont des ULTRA DRIVE PRO DCX 96/24 modifiés qui permettent le traitement des fichiers en 192 k/c. Je n'en possède qu'un seul, les concertos pour violons de Bach par Mme PODGER. Je dois avouer que la différence entre le 96 et le 192 ne m'a pas sauté aux oreilles. Mais, comme chacun le sait, mes oreilles sont mauvaises.
Cordialement Olivier
Les BEHRINGER que j'utilise sont des ULTRA DRIVE PRO DCX 96/24 modifiés qui permettent le traitement des fichiers en 192 k/c. Je n'en possède qu'un seul, les concertos pour violons de Bach par Mme PODGER. Je dois avouer que la différence entre le 96 et le 192 ne m'a pas sauté aux oreilles. Mais, comme chacun le sait, mes oreilles sont mauvaises.
Cordialement Olivier
Dernière édition par Le daim le 01 Fév 2015 10:55, édité 1 fois.
La configuration dans mon profil
La haute-fidélité est une servante de la musique et non une fin en soi.
- Le daim
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Steph-Hifi a écrit:oui surtout que le DSP 32 bits n'est pas la précision du DAC, mais la précision des calculs de correction post ADC, pour le ADC ils annoncent 114db de Rapport signal bruit, soit 30 db moins bon qu'une quantisation 24bits théorique
Oui , du coup , je ne vois pas où se situerai le gain de l'opération à part remplacer un appareil défectueux ce qui est logique.
Après pour avoir l'open DRC, il ne détériore pas non plus la qualité du signal , ou du moins tant que l'on tient en compte qu'il n'est pas fait pour les niveaux de sorties élevés des appareils professionnels , mais pour les niveaux de sortie des appareils hifi
Quitte à simplifier, il faudrait revoir le schéma de l'installation ou même l'installation elle même en repartant d'une feuille blanche
- Iorn
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jyval a écrit:A propos de ces caractéristiques des DAC et de leur impacts, je vous engage très fortement à regarder...et méditer, la dernière vidéo de JIPIHORN, qui montre la réalité qui se cache derrière ces caractéristiques marketing !
A travers des mesures très sophistiquées (et jamais montrées de cette façon) sur 2 convertisseurs (AKM et ESS) il met en évidence la réalité de l'impact des quantifications et fréquence d'échantillonnage sur la linéarité et monoticité des dac pris en ex. et qui sont loin d'être les plus mauvais.
jyval
Allez sur les sites des fondeurs de puces convertisseurs. Vous verrez les gammes, les configurations internes, les options proposées. C'est très intéressant, le signal quantifié subit plusieurs sous conversions secondaires, mais aussi des passages successifs du mono-bit au multibits. Tout cela est directement lié à la qualité de programmation des algorithmes.
Une chose est certaine le bruit de fond et la distorsion numérique dépendent directement de la fréquence de quantification du signal, donc de la fréquence la plus basse de l'ensemble de la configuration, circuits intégrés compris.
- JACBRU
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Le daim a écrit:Mon cher Igor. Puisque tu en es au changement, je vais t'esquisser ma logique des choses, elle est très simple : source numérique vers un DSP (quel qu'il soit) avec des entrées numériques et des sorties analogiques, potentiomètre avec autant de canaux que d''amplificateurs. Une seule conversion donc, une N/A et une réduction appréciable du bruit par le fait que le potentiomètre général se trouve en fin de course, juste avant les amplis. C'est le schéma de ma chaîne. Le principal atout de ce système est sa logique et son économie de moyen; son principal défaut, la limitation des sources aux seules données numériques. Chez moi, c'est un ordinateur dédié qui est l'unique pourvoyeur de musique. Cela me contraint évidemment à riper les CD mais me permet en contrepartie de télécharger depuis QOBUZ des fichiers musicaux, dont ceux en haute-définition qui constituent aujourd'hui mon principal enrichissement en oeuvres musicales.
Les BEHRINGER que j'utilise sont des ULTRA DRIVE PRO DCX 96/24 modifiés qui permettent le traitement des fichiers en 192 k/c. Je n'en possède qu'un seul, les concertos pour violons de Bach par Mme PODGER. Je dois avouer que la différence entre le 96 et le 192 ne m'a pas sauté aux oreilles. Mais, comme chacun le sait, mes oreilles sont mauvaises.
Cordialement Olivier
Rappelons un préampli cinq canaux de Sony TAP9000ES. Unique, rare en occasion, il pourrait être utile les niveaux sont réglés en analogique...
- JACBRU
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- Localisation: 01300 BELLEY
Mon cher Igor. Puisque tu en es au changement, je vais t'esquisser ma logique des choses, elle est très simple : source numérique vers un DSP (quel qu'il soit) avec des entrées numériques et des sorties analogiques, potentiomètre avec autant de canaux que d''amplificateurs. Une seule conversion donc, une N/A et une réduction appréciable du bruit par le fait que le potentiomètre général se trouve en fin de course, juste avant les amplis. C'est le schéma de ma chaîne. Le principal atout de ce système est sa logique et son économie de moyen; son principal défaut, la limitation des sources aux seules données numériques. Chez moi, c'est un ordinateur dédié qui est l'unique pourvoyeur de musique. Cela me contraint évidemment à riper les CD mais me permet en contrepartie de télécharger depuis QOBUZ des fichiers musicaux, dont ceux en haute-définition qui constituent aujourd'hui mon principal enrichissement en oeuvres musicales.
Personnellement, j'ai fait le choix de traiter le volume en numerique
Serveur Synology commander par un PC avec JRiver
Convertion USB vers SPDIF - WaveIO XMOS
Dispatch numerique TC Electronics X32 (j'ai d'autres source numérique) il fait aussi office de SRC
Console numerique Audio Design DMM-1V ou DMM-V1 (Signal processing is 56 bits) pour le réglage du volume
Filtre actif ElectroVoice DX46
Le tous synchroniser avec une masterclock Brainstrom DCD-8
Donc un seul convertion N/A
Seul limitation (mais existante au niveau du DX46) le travail a 48khz
Stéphane
- stephane092
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La guerre des convertisseurs ?
Surpris


Et ceux qui pensent à un (léger) gain auditif

JACBRU a écrit:Le daim a écrit:Bonjour Igor. Je m'interroge : un OPENDRC analogique? Le travail de cet appareil n'est-il pas essentiellement numérique et ses entrées analogiques ne mènent-elles pas à un convertisseur A/N intégré puis à un autre, fonctionnant en sens inverse si les sorties sont analogiques? Ce qui constituerait un nombre de conversions semblable à celui qui existait avec le BEHRINGER. Cordialement Olivier
C'est ce que je pense aussi.
Ceci dit, vu la qualité des DSPs Shark 32bits/330mHz, on doit y gagner par rapport aux convertisseurs du Behringer 24/24/96k. Tout le problème est dans la qualité des étages électroniques analogiques en entrée et en sortie de l'OpenDRC-AN.
Steph-Hifi a écrit:oui surtout que le DSP 32 bits n'est pas la précision du DAC, mais la précision des calculs de correction post ADC, pour le ADC ils annoncent 114db de Rapport signal bruit, soit 30 db moins bon qu'une quantisation 24bits théorique
JACBRU a écrit:Pour ces raisons, je pense qu'effectivement les choix de quantification des DSPs de l'OpenDRC se justifient par rapport au 24/96k du Behringer, et aussi de l'ElectroVoice.
kazuya a écrit:Pour rappel, 16bit c'est 96dB et 24 c'est 144 c'est ça?
Donc il serait entre les 2.
Mes propres connaissances étant médiocres en la matière


Voici son verdict qui devrait en surprendre plus d'un:
"Les convertisseurs de l'OpenDRC sont en 24bit, et le traitement interne en 32bits float, tout comme le Behringer.
La conversion AD de l'OpenDRC ne sera pas forcement meilleure que celle du Behringer (aucun des deux ne permet d’atteindre la dynamique théorique du 24bit, aucun convertisseur AD ou DA ne le permet de toutes façons), mais si au moins cela te permet de supprimer quelque boitiers alors c'est parfait. Peut être que le niveau d'entrée sera plus adapté à ton installation, et là tu pourra gagner un peu sur le bruit."
- Igor Kirkwood
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- Localisation: Briare
c'est juste ce que l'on disait ni vraiment mieux ni vraiment moins bien.
Si ce n'est l'énorme avantage de remplacer un appareil défectueux
en tout cas on est loin de l'effet d'annonce mis il y a quelques messages.
"Mais la conversion interne de l'OpenDRC analogique se fait a un niveau de précision qui n'a rien à voir avec une classique conversion numérique Analogique/Numérique"
Si ce n'est l'énorme avantage de remplacer un appareil défectueux
en tout cas on est loin de l'effet d'annonce mis il y a quelques messages.
"Mais la conversion interne de l'OpenDRC analogique se fait a un niveau de précision qui n'a rien à voir avec une classique conversion numérique Analogique/Numérique"
- Iorn
- Messages: 4762
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presque
stephane092 a écrit:Personnellement, j'ai fait le choix de traiter le volume en numérique
Serveur Synology commander par un PC avec JRiver
Convertion USB vers SPDIF - WaveIO XMOS
Dispatch numerique TC Electronics X32 (j'ai d'autres source numérique) il fait aussi office de SRC
Console numerique Audio Design DMM-1V ou DMM-V1 (Signal processing is 56 bits) pour le réglage du volume
Filtre actif ElectroVoice DX46
Le tous synchroniser avec une masterclock Brainstrom DCD-8
Donc un seul convertion N/A
Seul limitation (mais existante au niveau du DX46) le travail a 48khz
Stéphane
Salut Stéphane

Il reste évident que ta solution du "tout numérique" est la plus performante.
J'avais pu expérimenter cette solution "tout numérique" suivante:
-Lecteur BR Pioneer sortie numérique
-OpenDRC entrée numérique
-ElectroVoice Dx 46 entrée numérique
Le volume étant réglé par l'OpenDRC
J'avais constaté un net gain en bruit de fond mais hélas aussi un manque de souplesse (TV).
La nouvelle configuration apportera à la fois moins de bruit de fond (d'ou un léger surcroit de définition dans les ultras pianissimos dans mon Studio) tout en conservant la même souplesse,et... la suppression d'un boitier = simplification en prime

Dernière édition par Igor Kirkwood le 01 Fév 2015 19:04, édité 1 fois.
- Igor Kirkwood
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- Inscription Forum: 30 Nov 2007 11:17
- Localisation: Briare
J'ai aussi utiliser un OpenDRC avant de trouver le bon modèle de console.
Pour la TV je récupère le signal en SPDIF au dos de l’écran
Stéphane
Pour la TV je récupère le signal en SPDIF au dos de l’écran
Stéphane
- stephane092
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- Inscription Forum: 31 Mai 2012 7:36
- Localisation: IDF 92
Igor Kirkwood a écrit:Mes propres connaissances étant médiocres en la matière, j'ai voulu consulter poss
membre de HCFR et programmeur de Rephase, logiciel à réputation Internationale.
Voici son verdict qui devrait en surprendre plus d'un:
"Les convertisseurs de l'OpenDRC sont en 24bit, et le traitement interne en 32bits float, tout comme le Behringer.
La conversion AD de l'OpenDRC ne sera pas forcement meilleure que celle du Behringer (aucun des deux ne permet d’atteindre la dynamique théorique du 24bit, aucun convertisseur AD ou DA ne le permet de toutes façons), mais si au moins cela te permet de supprimer quelque boitiers alors c'est parfait. Peut être que le niveau d'entrée sera plus adapté à ton installation, et là tu pourra gagner un peu sur le bruit."
J'ai un premier principe, que j'applique le plus souvent possible, plus les caractéristiques sont de haut niveau, plus le risque d'inconvénient audible est faible.
En pratique, 16 bits de profondeur d'échantillonnage déterminent une dynamique potentielle suffisante en utilisation HiFi. Par contre, pour les ingénieurs du son, 24bits laissent plus d'espace dynamique pour éviter de trop avoir à compresser pour obtenir un niveau moyen d'écoute suffisant. Il n'est pas nécessaire d'aller plus loin.
Par contre, une fréquence de quantification élevée me semble finalement un paramètre plus sensible pour éviter tout inconvénient en phase et en niveau dans la zone audible. Je pense que même si ces conséquences sont peu, ou pas audibles (ce qui dépend aussi de la qualité discriminante de la chaîne de restitution), mieux vaut l'excellence pour éviter les mauvaises surprises. De toutes façons, un DAC doit être capable de prendre en charge au moins une fréquence d'échantillonnage égale à 192kHz... Les OpenDRC le peuvent, pas le Behringer.
Quelques informations sur les convertisseurs OpenDRC :
http://www.minidsp.com/products/opendrc ... mary-table
http://www.ti.com/lit/ds/symlink/src4382.pdf
http://www.cirrus.com/en/pubs/proDatash ... 272_F1.pdf
J'ai un second principe. Pour des performances attendues données, plus le chemin du signal est court, mieux c'est pour l'intégrité du message supporté.
Lorsque les sources à traiter sont numériques, je suis toujours un peu septique quand il faut passer par une double conversion N/A puis A/N pour appliquer des traitements algorithmiques au code quantifié. Chaque conversion implique obligatoirement au moins un étage électronique analogique (d'entrée ou de sortie) qui peut ne pas être à la hauteur d'une chaîne audio de très haute qualité.
Par contre, dans le contexte de ta configuration actuelle, effectivement, on peut penser que l'intégration dans un même boîtier du convertisseur A/N et du DSP est une bonne chose, ne serait-ce que parce que l'on évite une connectique et des câbles toujours sujets à des faiblesses.
- JACBRU
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stephane092 a écrit:J'ai aussi utiliser un OpenDRC avant de trouver le bon modèle de console.
Pour la TV je récupère le signal en SPDIF au dos de l’écran
Stéphane
Si tu as une box, sors directement le signal en s/pdif ou TosLink. Tu peux en profiter pour la radio, les enregistrements, etc...
- JACBRU
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