cleriensis a écrit:carlos67 a écrit:Préciser étage de sortie en classe A pour un lecteur CD c'est du marketing pur jus.
C'est pas mensonger , ça fait croire qu'on a un avantage alors que c'est courant ,
ça bénéficie de l'image de la classe A en ampli de puissance.
Bref c'est du marketing....
Oui c'est ce que je disais. Mais je déplore que sans arrêt sur ce forum et sur d'autre, chacun joue à celui qui a la plus grosse.. alors qu'il suffit gentiment d'expliquer que la classe A sur un étage de sortie d'un lecteur CD c'est courant, donc le fait de le préciser touche d'avantage au marketing qu'autre chose.
Merci Robert 64 pour les précisions. Sur le papier je pensais que la Classe B générait plus de distortion, mais je ne suis pas un expert dans ce domaine. La Classe AB en tous cas fonctionne très bien, quand au Classe D et T, j'avoue que je suis de plus en plus convaincu, j'ai un petit ampli SMSL à base de bloc ICE classe D et bien ça marche très très bien !
C'est exact, sur le papier. En effet pour de la classe B pure, il y a une zone morte autour de zéro où aucun des deux transistors de sortie ne conduit. Ce qui génère une distorsion dite "de croisement". C'est pour ça qu'on ne l'utilise jamais pure (sauf montage particulier, il y en a), mais avec une polarisation qui maintient les transistors en début de conduction; de façon à gommer cette zone non linéaire. Bien sûr, ça génère des pertes supplémentaires, et c'est tout l'art de l'électronicien de réussir le bon compromis. Ce qui suppose de bien maîtriser la stabilité thermique et aussi la dynamique de la ou des boucles de contre réaction.
A+