Dirty Vincent a écrit:Je ne vois pas où on peut encore oser lancer la moindre polémique sur le sujet.Bien que légaliste (éduqué à la fac de droit à la sauce "libertés publiques"), il faut bien garder à l'esprit que si nous voulons sauvegarder nos modes de vie et surtout notre liberté chérie, il va falloir faire des concessions et probablement être moins regardant quant à l'application littérale de nos lois vis-à-vis de ces gens qui se servent d'elles pour nous détruire.
Ces femmes n'ont pas été traînées de force en Syrie, Irak et Libye. Comme dit ici par plusieurs forumeurs, elles adhèrent toutes ou presque à cette idéologie mortifère.
A partir de ce moment-là, aucun quartier ni état d'âme, y compris pour leur progéniture, élevée à la haine. Elles ont choisi leur camp, préférant élever leurs enfants dans un pays où on décapite à tout va au nom de l'Islam. A partir de ce moment-là, elles ont tourné le dos à leur pays. Elles assument leur choix. Point à la ligne.
Tant pis pour les familles...
Que je sache, quand on a bombardé Dresde ou Nagasaki, on ne s'est pas posé la question de savoir si les milliers de femmes et enfants qui allaient périr sous les bombes, adhéraient à l'idéologie nazie ou l'impérialisme japonais ou même s'ils en étaient responsables (bien entendu que non pour les enfants).
Là, c'est pareil. On n'agit pas directement en leur lâchant des bombes sur le couenne (quoique, c'est déjà fait) mais on se contente de les abandonner à leur sort.
Mais vu qu'elles ont tourné le dos à notre pays, cela ne nous regarde plus. J'aurais aimé toutefois, par légalisme justement, que toutes ces personnes aient été jugées par défaut avec comme peine complémentaire, la déchéance de nationalité. Juridiquement, c'eut été plus propre.
En tout cas, moralement, qu'elles finissent sur le bûcher, ne me pose absolument aucun problème.
C'est une guerre que nous livrons à un obscurantisme moyenâgeux, qui veut s'imposer chez nous et qui le fait, insidieusement, avec la complicité indirecte des pouvoirs publics. Commençons déjà par empêcher les plus extrémistes de revenir chez nous. Il sera temps ensuite de faire le grand nettoyage chez nous (et j'entends par là, nous occuper de tous les extrémistes, pas des musulmans tranquilles).
Et de modifier nos lois, en empêchant par exemple, de construire des mosquées à tout va, en durcissant les règles d'acquisition de la nationalité française, etc.
Car il faut aussi se rendre compte d'une chose : l'islam n'aime pas le partage et n'a jamais pu cohabiter avec des athées et d'autres religions. Je ne vois pas pourquoi ce serait différent en France... Et qu'on ne vienne pas me parler de cette pantalonnade qu'est l'Islam de France.
Plus ils seront nombreux en France, plus la République sera en danger. Ca, nos "élites" ne l'ont toujours pas intégré...