corintin a écrit:
intéressant ton approche des %, c'est déjà plus subtile que l'approche "ou noir ou blanc" de certains...
et ces % sont bien sur spécifiques pour chaque installation : imagine, par ex., un duo pièce/hp qui n'ait pas un besoin "indispensable" d'égalisation (tes 10% au point 3 pourraient être redistribués.. )
à mon avis, ton point 5 est sous estimé, notamment la qualité de la source (selon l'adage "bullshit In – bullshit out")
Merci pour ta réponse, on peut ainsi avancer.
On est plusieurs à t'avoir demandé une réponse sur ce que tu indiquais plus haut, tu disais que pour entendre les câbles, il faut un système d'une grande transparence et que, à découvrir par exemple mon système et à en lire les composants, il m'était impossible d'entendre les câbles car ce système ne peut offrir une transparence suffisante, peux tu développer s'il te plait ?
Une adéquation système/pièce sans EQ ?
On a le droit de rêver, sauf à être au dessus de la fréquence de Schroeder et d'avoir un énorme coup de chance.
Juste 1 point d'EQ peut améliorer de façon très spectaculaire le résultat final, avec une incidence bien plus élevée que la source matérielle (je parle d'amélioration)
La source ?
Je t'invite chez moi à faire des tests ABX, tu viens avec le lecteur et le DAC que tu veux, contre un vieux DAC "correct" et à bas cout vieux de 15 ans d'âge (celui que j'utilise par exemple).
Tu t'apeprcevras que tu n'arrivera pas à trouver de différence car ces différences sont sous le seuil d'audibilité, noyées dans le NR de la pièce...
Qui à une pièce avec un NR suffisamment bas pour entendre le souffle electronique d'un DAC ?
Sauf les pièces dédiées en sous sol, ou certains studios "la boite dans la boite", sinon, c'est un gain, certe, mais totalement inaudible... Idem pour les sources ésotériques...
Pour la source enregistrée et sur la qualité des enregistrements, elle n'est pas modifiables.
Toujours par jeu, si on devait quantifier entre un enregistrement moyen et un top enregistrement, sans doute au dela de 50% d'amélioration, c'est en fait l'un des premiers critères par ordre d'importance.
Je ne parle pas du fichier, par exemple DSD contre MP3 320kbps vbr, mais de l'enregistrement sur le fichier numérique.
La qualité d'enregistrement varie énormément d'un studio à l'autre, d'une époque à l'autre, d'un ingé son à l'autre, à tel point, dans mon cas et comme pour nombre d'entre nous je pense, que c'est discriminatoire et que je n'écoute plus pour cette raison certains albums, en tout cas, pas une écoute fine et concentrée, au point d'écoute et en conditions optimales.