Test HCFR : JVC DLA-NZ9, projecteur 4K laser, e-shiftX 8K

Test HCFR : JVC DLA-NZ9, projecteur 4K laser, e-shiftX 8K

Compte-rendu de Gérald_kaisen

 

PREAMBULE

Bonjour à tous, tout d’abord je voudrais commencer ce compte rendu par des remerciements.

C’est une très grande opportunité pour moi de pouvoir tester ce vidéoprojecteur ; en effet, je suis personnellement très intéressé dans le fait de remplacer mon JVC X500 par un modèle de cette gamme NZ.

Aussi je voudrais remercier les différents Membres de l’Association HCFR (et plus particulièrement Hugo S et Stéphane_Chewee Levelu), car c’est grâce à eux que j’ai pu tester ce vidéoprojecteur.

Enfin, je voudrais grandement remercier Régis_transeuropexpress pour m’avoir accueilli chez lui en vue de réaliser ce test sur son installation.

Le forum peut permettre de faire des rencontres entre passionnés, j’ai vu en Régis, une personne extrêmement sympathique et accueillante, un très grand passionné de son qui a pu réaliser chez lui une installation HC/HIFI dans une pièce dédiée.

Je voudrais terminer cette introduction en m’excusant pour la longueur de mon compte rendu.

Je remercie par avance toutes les personnes qui liront l’intégralité de ce long compte rendu. Je suis désolé, mais il fallait bien cela pour retranscrire ce que j’ai ressenti durant ce test.

 

LE CONTEXTE

Comme beaucoup de passionnés, j’étais très excité à l’idée de pouvoir tester ce vidéoprojecteur NZ9. Je m’étais déjà fait une petite idée des performances possibles de la bête à la lecture des spécifications papiers.

Avant le test, je désirais surtout pouvoir visualiser les améliorations liées aux différentes nouveautés technologiques de cette gamme (laser, bloc HC, Eshift).

Je dois avouer que je voulais surtout tester la performance du bloc HC et plus particulièrement voir de mes propres yeux l’évolution du contraste dans les bas IRE et le contraste Intra Image.

En toute sincérité, on peut parfois se faire des idées préconçues avant un test et être quasi persuadé de l’intérêt (ou non) d’une technologie avant même de l’avoir testée.
Par exemple, avant cette journée, je n’attendais pas forcément grand-chose du gain obtenu par la technologie EshiftX.
Petit spoil avant la fin de lecture de mon impression sur cette page : cette idée préconçue au niveau de l’EshiftX était vraiment une très grande erreur de ma part.

Après 3 heures de route, je suis arrivé chez Régis vers 11H00 ; c’était la première fois que nous nous rencontrions et j’ai rencontré une personne formidable et un très grand passionné. Que cela m’a fait plaisir de rencontrer une personne comme lui.

Il m’a rapidement présenté son installation dans une pièce dédié de 25m² environs (6m x 4m environ). Cette pièce est multi usage, elle peut servir de salle de projection, mais la famille de Régis peut utiliser cette pièce pour d’autres usages (par exemple pour jouer de la batterie).

Régis a mis le paquet sur l’installation audio (il en parlera sans doute bien mieux que moi), mais grosso modo on y trouve une vingtaine d’enceintes (j’ai vu du B&W et du Kef) le tout piloté par un processeur Trinnov. Je n’avais jamais testé ce genre de solution audio, cela a été une révélation pour moi (mais bon, ce n’est pas le sujet du jour).

En termes de vidéo projection, Régis utilise habituellement un Epson Laser LS10000 installé au plafond, piloté par une platine OPPO 203 (avec une alimentation linéaire Coris) et un processeur vidéo Lumagen PRO. Son projecteur Epson est installé au plafond à 4M10 environ d’une toile micro-perforée sur cadre de 3M20 de large de gain 1.0.

La salle étant multi-usage, celle-ci n’est pas complétement noire. De chaque côté de la toile, on trouve des rideaux noirs sur une largeur de 1M00 environs. Le plafond est de couleur clair, le sol est en moquette claire.

La distance de recul entre l’écran et la position des yeux en place assise est d’environs 3M50. Le ratio distance de recul/largeur d’écran est donc relativement proche de 1 (assez semblable à mon installation d’ailleurs).

A mon arrivée, Régis avait déjà installé le NZ9 sur une table, juste en dessous de son Epson. La distance entre la lentille du NZ9 et de la toile est de 4M10.

Régis avait pu récupérer la sonde de calibration SpiderX, ainsi que le logiciel d’autocalibration de JVC. Je suis également venu avec mon matériel de calibration (Chromapure V2.XX + une sonde I1 Display Pro tweaké).

J’avais également pris mes 2 platines Blu-ray (Une OPPO 203 Full Tweaké Coris, et une Panasonic UB420 tweaké par mes propres soins : Alim, horloge, firmware). Durant  cette journée, nous n’avons cependant pas utilisé mes 2 platines, car il n’était pas simple de pouvoir modifier le rack de Régis où l’ensemble de son matériel était installé (203, TRINNOV, Lumagen PRO, …).

Pour éviter de perdre trop de temps lors de l’installation de matériel, nous avons décidé de faire l’ensemble des tests du NZ9 sur son OPPO 203 modifié au niveau de l’alim, et sans passer par le Lumagen PRO.

Régis avait, au préalable à mon arrivée, essayé d’autocalibrer le NZ9, mais le logiciel JVC plantait en plein milieu de la calibration.

Avant de commencer ce test, je précise également que, par le passé, j’ai pu voir à plusieurs reprises le JVC Z1, et j’ai pu apprécier l’évolution liée à la sortie des firmwares successifs sur ce projecteur Z1.

 

– lien vers le sujet HCFR dédié au projecteur JVC DLA-NZ9 : https://www.homecinema-fr.com/forum/projecteurs-uhd-4k/2021-jvc-dla-nz9-laser-4k-e-shiftx-8k-voir-post-1-t30116418.html

 

 

 

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