Fyper a écrit:Je prendrais volontiers le meilleur des deux mondes mais n'ai pas assez de patience (de passion ?) pour leur point commun : le temps de leur mise au point.
Un peu dans le même cas...
Comme je le disais sinon, Phil est un pur et dur.
Je lui ai dit d'ailleurs : je n'aurais pas sa patience. Il est à fond.
En tout cas, la réputation des ML qu'il a, comme des Lynnfield 500L, n'est pas usurpé : c'est du vrai THDG. Fabuleux.
La qualité des timbres par exemple c'est vraiment quelque chose. Et les silences ! C'est du dark black comme disent les ricains. Enfin pour moi le haut du panier.
La focalisation des sources virtuelles, et ceci en 3D, est phénoménale. J'ai cela aussi chez moi mais :
1/ Je suis en écoute near field
2/ Pas avec cette profondeur de champ : c'est au sens propre
hallucinant.
Il faut l'entendre pour le croire.
A un moment, Phil a passé un morceau de jazz vocal, utilisé en démo par Jean Hiraga (prise de son de 1956 !!
). C'était stupéfiant. Et le mot est pesé.
De l'holographie, tout simplement. La batterie par exemple semblait être à plusieurs mètres du plan des enceintes. Le mur arrière avait complètement disparu. Et je ne parle pas d'une reconstruction mentale, mais bien d'une présentation, sans aucun effort intellectualisant à faire. Limite flippant
Il faut l'expérimenter. Impossible à décrire.
Comme je le disais, j'ai cela aussi chez moi, mais
pas à ce point. Alors là, chapeau
David